Il est un jeu magnifique de capter ton regard,
lui, vif comme l’éclair, perçant et furtif,
Timide et sans fard.
Oserais-je ?
Je n’ai peur de m’y brûler, seulement d’incendier mon coeur,
Que celui-ci vibre, m’appelle à y aller…
Je n’aurais plus d’excuses. Mon cerveau serait atone, inutile…
Ne resteraient que des gestes à poser, un pas, un autre,
Tremblants les deux, émus, fébriles.
Et, par-dessus tout décidés.
Car il est temps, ton regard ne fait nul doute.
Rien qui ne me retient.
Peut être la peur ? Elle aussi serait amadouée,
Dissipant ses élans contraires, me laissant nu
Et volontaire, le choix entre mes mains…
D’attendre, encore, si je n’ose…
De ne plus attendre s’il est l’heure.
Si je croise ton regard, je ne serai pas en retard.
« Je n’aurais plus d’excuses… »
Ah! Ben! Faut plus attendre, alors!!!
Maintenant que c’est dit, c’est dit😉😆
Allez hop !!! Sitôt neige fondue…
Salut la patte, heureuse de vous relire…
Merciiiiii Anne !!
c’est drôle, mon texte du dimanche portera aussi sur un regard 🙂 très joli bravo
Merciiiiii Claire !! J’irai te lire avec plaisir !