Le contrat de 10 jours ne pouvant été prolongé au-delà de 3 fois, beaucoup allaient devoir travailler bénévolement, aussi accélérèrent-ils le mouvement pour, enfin me direz-vous, atteindre le village tant convoité.
Bonheur et heureuse coïncidence, un frêle ruisseau les accompagna jusqu’à la porte de l’atelier de Gepetto.
Ils clapotèrent-tapotèrent-tirèrent la chevillette et le plus vieil ouvrier de France apparut dans l’entrebâillement de la porte :
» Da ! Gue foulez-fous ? »
Flippé prit la parole, expliqua qu’ils avaient rendez-vous ce jour précis à cette heure exacte, pourquoi ils venaient, raconta le périple de chacun et, quand il eut achevé ce discours fleuve -réminiscence maritime- que je vous épargne car vous avez suivi depuis les différents débuts (sinon, retournez étudier et j’interroge dans une heure !), il était le lendemain pas à la même heure.
Gepetto :
« Arrr, foui foui foui !! Che meuh röppelle ! Ein dauphin gui veut märcherrr… Ch’ai chust ein kïïïn Proplëm !! Hier, ch’avais le demps ! Blus auchaurd’hui ! Rebassez dans tix chours !! »
Et il claqua la porte !
Oui, vous aussi, vous avez un gros coup de blues… Je me doute ! Alors qu’enfin, il semblait inéluctable qu’on mette un point final à cette histoire, v’là t-y pas qu’elle nous joue un gauche-droit-spirale et nous glisse entre les doigts !
Quant à nos 12 héros, vous vous doutez bien de leur réaction !
C’est là que soixante-huit cailloux seraient plus utile qu’un poussin et un dauphin !
Les douze sont « a » ou « poly » réactifs ?
C’est p….. de chaud, ton histoire de Flippé.
ch’é ne sais bas ce qui nous zattend aber je le zupute. Za va zaigner graaf.
Ouf avec le titre j’ai eu peur …mais en vrai c’est pas fini. …….🐾🐾🐾