
Le pays des sans-vent c’est aut’ chose !!! Combien de bateaux à voile sont restés à quai, guettant la brise qui shérazadement ne vint jamais.
Combien ? Un paquet !!!
Aussi, la glace ayant peu à peu pris sa place, la banquise n’était qu’écueils en forme de quilles et qu’obstacles voilés.
Fallait donc slalomer, driver ces pingouins qui, franchement, commençaient à saturer de tant courir et tant tirer ce traîneau.
Oïyok, ami-des-bêtes Oïyok décida que pause il était temps de faire.
Faute de vent, pas une sensation, pas un ressenti, et les voix ne portant même pas, nos héros devaient s’apostropher en mime, et les odeurs ne circulaient pas.
Bref, jamais ils ne sentirent, virent, entendirent approcher le troupeau d’ours blancs.
Comment dire ? Cousteau a fait beaucoup de mal à l’image des ours blanc !! Il les a décrit comme patauds, s’accrocher aux branches, mâchouillant à longueur de journée des branches d’eucal…
Au temps pour moi ! J’ai confondu avec l’épisode sur les koalas !!
Cousteau a parfaitement retranscrit l’image des ours blancs : querelleurs, carnivores, assoiffés de sang, sautant hors de l’eau pour déchiq…
Décidément. J’ai mal bossé mes fiches !!!
Donc, Cousteau bla-bla-bla… Les ours blancs…. image…. : querelleurs, carnivores, se cachant derrière une congère pour vous sauter dessus et vous grignoter tout cru.
Cousteau a eu bon goût de préciser qu’avant toute chose, l’ours blanc adoooore le pingouin tartare.
Nos héros restèrent donc bien vivants, flamme toujours brûlante, traîneau immaculé, morses décédés toujours décédés mais… Sans personne sinon quelques os pour tirer le traîneau.
Ils suivaient leur traîneau fixe et s’étonnaient de ne pas avancer…
Sans y tartarer quoique ce soit, patte, la flamme du bonnet rouge du commandant Cousteau éCalypse toutes les autres lumières icebergées sous la calotte glacière terrestrement Shérazadée par les bons soins de ton encrier.
J’attends avec curiosité la suite des aventures des deux pingouins héros de cette fresque magistrale.
En te souhaitant un excellent week-end, 1patte-et-son-encrier.
Et m’écréant vigoureusement : « Vivement la suite !!! « .
^^