De liberté, de pouvoir faire et me mouvoir comme je l’entends.
De confiance en l’autre et réciproquement.
De douceur par les mots, les gestes.
De compréhension.
D’écoute, d’échange.
De respect…
Je crois que je rêve.
Ils intiment même dans l’intime.
Comment être, faire, se comporter.
À se faire taper sur les doigts.
Mauvais élève devant la morale fraîchement édictée.
À tenter d’étouffer, ils attisent.
La colère, la révolte.
Donc, ils proclament : « S’insurger est un crime ! »
Retour en d’autres heures, où le joug n’était pas réservé qu’aux boeufs.
Broutons ce qu’on nous dit, comme on nous dit.
Sans quoi !!!! Direct à l’abattoir.
Le microbe a bon dos, crée la démence, même chez ceux qui ne l’ont pas.
J’ai soigneusement préservé, depuis tant d’années, ce petit grain,
Cette céréale de folie qui, seule, fait de la vie un joyau.
Cette céréale qui a tant besoin d’oxygène.
Et là, cachés sous leurs peurs, terrés dans leurs croyances,
Tapent du pied, montrent le poing,
Viennent et s’assoient sur nous, nos libertés.
Et ne dis rien surtout !!!
Sale petit ouvreur de gueule !!
Tais-toi et rampe !!
Je rêve !!!
Ron-ron, ceci n’est pas un rêve !!! L’industrie du mouchoir a encore de beaux jours.
si belle plume le chat. le chat a trouvé des ailes ?
Je suppose que nous sommes nombreux à partager si ce n’est votre révolte du moins ses motifs.
Je crois qu’on peut raisonnablement penser que nous sommes acteurs et actrices dans une certaine mesure, que nous le fumes, pourrions le devenir, de cette situation où …. : « HA !? UBU !? »
La colère s’épuise, vous verrez. Après on risque plus soi-même que les « coupables ». Plus que jamais « quand ils ont pris les communistes… »
Ha et puis le chat domestique est presque le paradigme de ce que nous devrons désapprendre à tolérer, selon moi.