D’une terre né,
Ne la voyant qu’objet,
La foule avec dédain.
Ses yeux attirés par le vide
Miroitant au-dessus,
Ces déesses étoiles
Où seul, pour lui,
Réside l’envie.
Refuse d’être graine,
Réfute sa nourrice,
Vénère l’espace,
Berceau plus conforme.
Se noie dans cet impossible
Quand son contraire,
Synonyme d’un merveilleux,
Réside à ses pieds,
Déjà palpable,
Existant,
À portée.
Face aux oeillères
Qu’il prend soin de garder,
L’échine courbe
Afin qu’il voie,
Enfin,
D’un autre regard,
Cette direction si facile,
Qu’elle lui reste invisible.
Il lutte,
Tant il ne croit là
que plier.
Sa vue reste obstruée
Et dure le manège,
Sinon indéfiniment,
Jusqu’à ce qu’il comprenne.
Et Charonne ronronne, elle ronronne…
Bien joli espace que celui d’un satellite suspendu dans un ciel d’encre !
😀
Merci, Jo !! Ron Ron !!