Une racontade de duvet et de rallonge-nage / part 5 de

poutine

Le lieutenant-capitaine Larochelle parqua son char dans le carré consenti à cet effort et réservé aux prestataires de l’ordre public comme l’avion d’Air-France engageait sa régression d’altitude par-devers Québec-ville.

Deux tiers-temps d’heure plus tard, il retrouva Flanagan-Johnson près des tapis glissants de débordage de wallets.

« Bien la venue, Monsieur Flanagan ! Je suis en charge que votre séjour soit bienveillant ! »

J’avais été envoyé au Québec sur un tuyau anonyme m’indiquant qu’un incendie de modus operanti dodo-compatible avait été perpétré là-bas. Il y avait forcément indices à collecter et l’occasion était belle de mêler le crime à l’agréable; d’ailleurs et afin d’oublier son milliardaire, Ingridina avait bien voulu m’accompagner.

Bonjour ! Je vous présente ma souple très souple secrétaire Ingridina ! »

Larochelle put juger de son effective aisance de torsion musculaire comme elle twista pour lui présenter son devant afin de shaker ses doigts prestement d’ascendant en moindre ascendant et inversement sur trois allers et contre-allées vifs et précis.

Nous embarquâmes dans le char d’imminente méthode et la grand-grand-voie nous dirigera à grand gaz vers le grand-quartier général de la Police montée.

Nous y attendaient pour entrevue  l’Amiral Condamine et l’inspecteur détaché aux affaires de contre-truandage Maxwell. Ce dernier enclencha l’examen du files nom de code « DuvetDD » :

« Le dodo que vous nous avez communiqué a effectivement posé pied sur not’ territoire il y a dix days. Il a domicilié quelques jours chez une relation, un wapiti qui possède un champ de syrupdérabliers. A not’ grand désagrément, nos followings discrétionnaires de ces derniers jours ont badlucké et il aurait disparu, je cite, « d’un day à l’autre day » sans que nous n’auditionnons l’information en amont de l’aval.

Puis l’incendie est survenu en une inopinescence suspecte qui nous a accordé d’esprit pour vous contacter.

– Vous avez bien fait ! L’animal est malin et fourbe… Presque autant qu’un wapiti vietnamien quand il rue en pleine rizière… Il a toujours un temps d’avance sur moi. » pesta Flanagan

– Flanagan, nous avons callé toutes les polices du State et nul oiseau à plumes n’a été rapporté introduit dans aucun motel dans ce périmeter. Y-est-il possible que l’animal soit escaped en transit by les Etats-Unis d’Amérique ?

– S’il avait tenté de passer par là, il serait en quarantaine pour au moins 2 fois 20 jours. Vos voisins ne rigolent pas avec les pets’introductions ! Nous serions donc déjà au courant.

Le téléphone chanta et Condamine interposa l’oreille devant l’ouie-teur de l’instrument.

 » Oh Nom d’une poutine d’orignal braisé du Dakota du Sud ! » Il se tourna vers Flanagan-Johnson « Le Directoire de collectes d’archives ferroviaires est en proie à dévastation par flammes incendiaires !

– Le dodo nous niaise, messieurs ! Amenez-moi là-bas ! Vite ! »

 

11 réflexions sur “Une racontade de duvet et de rallonge-nage / part 5 de

  1. Oh la la ! J’opine du bonnet pour affirmer que c’est l’épisode le plus loufoque qui soit et que j’ai jamais lu, et que j’ai bien cru ne jamais m’en remettre.
    Franchement, mais franchement, quoi !
    C’est comme quand j’épluche un oignon et que je pleure, sauf que là, c’est de rire.

  2. Ah ben là alors, j’avais entendu parler du frelon asiatique, dans la gente animalnibien, mais jamais du wapiti vietnamien qui rue dans les rizières. C’est qu’il est pas commode çui-là ! Au moins pire que le dodo qui met une patte dans l’encrier du chat.
    Là, je pars avec mon fou-rire – il vaut quand même mieux ça qu’une poutine de chou-pleur au six rots des râbles de lapin – pour aller me dormir.
    Mille merci 😀

  3. j’opine de la bonnette comme mes consœurs de par le dessus qui ont pris le fou rire dans le gras du bide. Moi, bien que moins souple qu’Ingridina, j’ai tenté un ployage avant en double ramassis tellement le gondolage me prit. Et ce méli mélo franco-angliche gaved me de smilet for toute la journée. Thank beaucoup.

    • Garde-les précieusement car, si je ne m’abuse -et je ne m’abuse que quand je suis consentant… Respect before everything-, je crois que tu peux défiscaliser des smileys avec le document YB-541

  4. Hi hi, je rejoins les autres pour le fou-rire (c’est contagious) et il en prend plein les ailes notre DD national, quel escroc et je ne la savais pas ! Il est partout à la fois en plus, pauvre Flanagan (pas très vif faut dire pour se laisser distancer par un dodo sleepy and paressous) mais quelle bosse (de zébu) de rire ! 😆

  5. Chrissst, ce flanagan est ben un pelleteux d’neige ! C’est pas un môdi tabernac’ de mountie qui va m’empêcher de dodeliner à ma guise dans les arpents sapineux ! Vive le Quebec…LIBRE !!

    Quant aux archives ferroviaires et en flamme, qu’il me soit permis de m’étonner que les documents du ferroviaire orientaloccidental du sudkistan soient sous juridiction cariboute….

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