Fairy Tall…

Ainsi naquit Georges.
Nous étions un jour d’Automne qui embaumait le Printemps, frissonnait l’Hiver et transpirait l’Eté… Euh, non, il ne transpirait pas l’Eté, il n’était que Potassium, il était plein d’allant et d’Alun.

Georges ayant de chou jusqu’à couveuse transbordé via placenta-travel.com avec une dextérité exceptionnelle, quel ne fut pas l’émerveillement de toutes et tous, mais de toutes surtout, devant ce prodige de la création crucifère.
Les fées n’en finissaient pas de vaporiser poudres magiques et perlimpinpinages sur lui… Un pur épandage de produits aujourd’hui retirés du marché dont on peut se demander s’ils étaient totalement inoffensifs. Passons !!
Les elfettes, toutes sosies de Liv Tyler, adorable détail, s’esbaudissaient devant aussi « petit peton pour l’Homme mais grand peton plein d’Humanité ».

Oui, Georges serait humain.
Hélas, par amyotico-phobie, il n’avait osé se tremper totalement, gardant tête hors du liquide du même nom ce qui devait lui faire une « nuque d’Achille ».
Vous savez ce que c’est, laissez transparaître une faiblesse et ils viendront profiter outrageusement.
Pour le coup, Georges avait un grand-Oncle… Ou une grand-tante ???… Ou peut être juste une lointaine cousine par alliance ???… Bref, il y avait une personne méchante méchante dans son entourage proche quand bien même on eut, par précaution, effectué moult contrôles et exigé montrage de patte blanche à l’entrée de la chambre, quand bien même le portique qui trônait sur son berceau fut apte à déceler coeurs en métal.
Celle-ci lui jeta un sort. C’est mesquin, c’est vil, c’est pas original, et, en plus, c’est toujours contraignant un sort.

Surtout que celui-là était maléfique, le vilain.
L’esprit de Georges serait condamné à errer dans un vil, triste, lugubre et mal décoré donjon intérieur.

Là, inquiet et anxieux, seul il resterait jusqu’à ce que l’Amour, le vrai, le seul, l’unique, celui qu’il saurait se donner, ne le délivre du joug honteux de cet honteux sort honteusement donné par la personne sus-mentionnée.

Allez mener une vie de front avec un tel bagage !!!

D’autant que Georges le savait, c’était écrit, acté, mis sous scellés, son destin était des plus prodigieux, de ceux que l’on chante le soir quand on a déjà fait « Paquito » et autres rupestres cantiques vinassiers.

Le chapitre de Georges se voulait épais, complet, chargé, une vraie encyclopédie.

Qu’à cela ne tienne, Georges partit à la recherche de cet amour qu’on lui avait conté guérisseur, il le chercha dans tout recoin, dans chaque parcelle de son humanité, il l’invoqua souvent devant le miroir d’un chant sinon mélodique très explicite.

Refrain : « Bordel de D…, tu vas t’aimer !!!??? »

La mélodie y fait beaucoup.

Vous l’avez bien compris, ce ne serait pas une belle histoire si elle finissait moche… Et vous connaissez déjà Georges, vous savez l’être superbe qu’il est désormais.

Point de suspense.

Vous ignorez juste le point de départ de cet extraordinaire trajet.

Georges devait écrire livre qui marquerait générations et générations.

Un peu comme la Bible mais en moins… , un peu comme « La boum » mais en moins film pourri.

Chat ici contant qui, bien que noir, ne portait pas malheur voulut bien être son nègre.

Affublé de nègre, Georges n’avait plus qu’à…

Il n’y a plus qu’à…

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