… Jeu de mots pourri-assumé…
Feuille de vigne mise à part, et afin de ne point dépeupler les ceps de leur substantifique photosynthèse donnant au nectar moult glucides afin d’en affiner l’onctuosité (cf la bible du Vin qui se boit), je m’arrêterai là pour ce qui est de cette comparaison vestimentaro-paradisiaque…
De toute façon, je suis hors-jeu sur ce coup-là. Le Paradis m’est fermé à quadruple tour avec une chaîne aussi au cas où j’arriverais à crocheter.
Je vends des pommes, je suis un peu un « tentateur » à ma façon. Limite si je n’aurais pas ma place sur l’ïle du même nom… Et pas que pour les pommes… Les abdos aussi… Et les neurones il va sans dire !!!
Trêve de bermuda fleuri et de monoï, le temps est plus à l’encouettage massif avec surplus de bouillottage des doigts de pied.
Trêve de taille 47, le moment n’est point choisi pour énumérer des mensurations quelconques… Mais pas quelconques… Bref !!!
Il faisait longtemps. Je n’étais point venu poser patte en ce lieu si ce n’est pour vivoter. Ma plume cérébrale avait comme subi les premiers frimas et avait caché sa frimousse sous le duvet de la feuille blanche… 100% coton la feuille blanche.
Coton de revenir et d’en remettre une couche. J’ai lu, relu mes écrits précédents tel le mégalo qui s’ignore mais suppute sa présence.
J’avais fait le tour de mes sujets de prédilection à mon avis, j’avais la sensation de me répéter dernièrement. Donc, j’ai mis de côté. Attendre l’inspiration. Refuser le radotage. Le plus tard possible du moins.
Inspiration y-es tu ??? Que fais-tu ???
J’ai cherché des palliatifs à mon manque d’idées.
Au prix que coûte une muse à l’heure, on vire à la prohibition de l’esprit, à l’aliénation de l’imagination.
N’ayant pas les moyens de mes envies, j’ai abandonné cette idée… D’autant que la versatilité de la dite-muse est induite dans le contrat. Si elle ne veut pas ou plus, elle ne veut plus ou pas. Je ne l’avais pas lu.
Je dé-tes-te lire les p’tites lignes en bas de la feuille. Elles ne sont que source de problèmes. Je préfère ne pas signer, on gagne du temps pour un résultat approchant à l’arrivée.
Muse amère mise à mort, me revoilà … Seul… Oui une belle preuve de courage… l’inconscience n’étant jamais très loin. L’inconscience est un vautour qui fait des ronds dans le ciel au-dessus du courage. Un moment d’inattention et… Bim l’accident !!!…
Allez hop, je franchis la ligne blanche… Pour une fois…
…
Rien ne se passe.
Tiens !!!????
Pas de tomates pourries virtuelles, de « bouh » par Skype…
N’y aurait-il donc personne de l’autre côté de l’écran ???
…
Boh !!! Ils me font sûrement une blague, ils doivent être cachés derrière la souris pensant qu’elle attirera inévitablement mon regard félin.
S’ils sont là, je reviendrai… Friser l’indifférence est pire que se faire des cheveux devant la critique.
Donc… I’ll be back !!!